Cette enquête qualitative de Chorégraphes Associé.e.s tente, à partir des réponses de 30 chorégraphes, de (re)définir l’autorat des chorégraphes-auteur·e·s tout en détaillant ce dont relève leur auctorialité. Il en ressort des positions variées, faisant de l’œuvre chorégraphique une œuvre de collaboration entre différents corps de métiers (danse, composition musicale, éclairage, etc.), mais dont l’auctorialité de chacun·e, inégale, nécessite la création de critères d’évaluation. Aussi particulier que complexe, le métier de chorégraphe met alors à mal le statut d’auteur·e et sa définition juridique qui ne répondent pas à ses réalités ni à ses besoins.
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